Nous étouffe le souffle chaud du géant désespéré.
Par cause, sa création ratée...
En cette ville désertée,
Virevoltent feuilles et déchets
Que les cobayes ont jetés.
Par ce vent surchauffé,
Rien ne cesse de bouger.
Pourtant règnent calme et sérénité
Sur cette place désanimée.
Le temps semble figé...
Un grand décrassage,
Balayage du renouveau.
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