Jamais je n'ai été cette créature assoiffée qui ne demande que de te boire...
Je ne sus voir ainsi avant toi, tant désireuse qu'une miette de ton corps suffit à me transcender !
Ce drôle d'état où la bête qui se cache en mon être sort sa tête et te guette.
Comme le prédateur affamé sur sa proie, je ne peux t'épargner ne serait-ce qu'un doigt.
Et mon regard ne sait guère t'éviter, craignant de perdre son roi...
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